Les enfants naissant peuvent arriver dans deux catégories: Les riches ... Et les autres.
Malheureusement, je suis né dans la deuxième catégorie. Est-ce que j'ai été malheureux pour autant ? Je ne pense pas non. Car souvent, les enfants qui naissent dans des familles pauvres sont sur-aimé pour compenser le manque d'argent. C'est ce qui m'est arrivé.

Je suis le petit dernier d'une famille de quatre enfants. Et de surcroît, j'ai trois grandes sœurs. Alors forcement, j'ai été chouchouté au possible. Avec leur amour. Car ma famille n’était même pas modeste, elle était complètement pauvre. Mon père travaillait comme ouvrier dans une entreprise automobile et ma mère était couturière à son compte. A eux deux, ils avaient du mal à boucler les fins de mois. Alors, malgré leur faible revenu, ils voulurent une grande famille a aimer.  

Au bout de la troisième fille, mes parents abandonnèrent l’idée d'avoir un autre enfant. Ils étaient heureux tous les cinq mais une grossesse accident leur permis d'avoir ce qu'il rêvaient secrètement: un garçon. Moi.

J'ai donc grandi au milieu de grandes sœurs plus gaga les unes que les autres, d'une maman aimante et constamment sur mon dos, et d'un père qui espérait beaucoup pour mon avenir. Ça, c’était mon environnement familiale. A l’école, les choses étaient un peu différentes. J'avais deux, trois amis mais pas plus. Je ne cherchais pas à être social, je me concentrais sur mes notes. Et elles étaient toujours excellentes. Ce sont elles qui me permirent d’entrée dans une des plus grande fac du pays, grâce à une bourse du à mes résultats parfaits. Je travaillais dur pour pouvoir avoir un jour un travail respectable. Et mes facilités d'apprentissages m'aidaient bien.

Et mon choix d’études représente la manière donc j'ai été éduqué: Je suis en médecine, pour devenir pédiatre en hôpital. Je suis ainsi au service des personnes et ma famille est fière de moi.

Mais toute cette réussite à un coût: Le nombre de relation que j'ai pu avoir avoisine autour du zéro. Ou presque. Je suis sortie avec une fille, ça a durer un mois. Autant dire que je suis novice dans ce domaine. Enfin, novice mais conscient de mon attirance aussi bien pour les femmes que pour les hommes. Une bisexualité qui ne gêne pas ma famille et heureusement.

Aujourd'hui, je suis sur le point de finir mes études en médecine, ayant sauté deux classes je suis le plus jeune de ma promo, et je me demande sérieusement si je ne devrais pas essayer de me socialiser un peu plus. Du moins autant que je le peux avec ma fichu timidité.